Des humains ? : Si Leandro pouvait passer ses journées avec eux, il le ferait

Des goules ? : Pour lui, ce ne sont là que des serviteurs nés, même s’il peut très bien s’entendre avec l’un d’eux

De la Camarilla ? : Il ne sait pas ce que c'est.  

Du Sabbat ? : Il ne sait pas ce que c'est.  

Des Anarchs ? : Il ne sait pas ce que c'est.  

Des Aubains ? : Il ne sait pas ce que c'est.

Des Sangs-Clairs ? : Il ne sait pas ce que c'est.

Leandro fait environ 1m82 et est assez mince quoique taillé. Ses cheveux sont plus clairs que brun, plus foncés que châtain, la cause : les reflets. Ces derniers sont mi-longs sur le dessus et un peu moins sur les côtés. Il a des sourcils fourni, mais formés, des yeux bleus assez clairs, un nez et une bouche suffisamment balancés entre ordinaires et différents et a une mâchoire carrée. Il est large d’épaule et, comme dit plus haut, a un corps mince mais taillé. Il porte des vêtements simples mais sait se démarquer avec ces derniers. Il a une démarche assurée, la tête haute, le pas soutenu, mais reste assez rêveur avec souvent les yeux pointant le ciel. Depuis qu’il est vampire, seul son teint est devenu plus pâle pour modifier son apparence.

Leandro est un bon vivant. Sa devise : on a qu’une vie, et il compte bien en profiter et la remplir avec un maximum de choses. Il est passionné de musique et joue lui-même de plusieurs instruments tel que le piano, la guitare, la basse, et j’en passe. Quand il ne joue pas de musique, il est certainement en sortie avec les amis qu’il se fait. Autre la musique, il est assez respectueux envers la nature et aime contribuer à la rendre plus belle, ou du moins, plus propre. Il aime passer son temps dans des parcs, là où il pourrait se poser sous un arbre avec un de ces instruments et profiter de l’air frais tout en s’exprimant à l’aide de sa musique. Il est assez joueur et sait se montrer présent pour de gros évènements ou de simples défis. Mais, malgré tous ces points plutôt positifs, Leandro est un garçon qui peut parfois se montrer un peu impulsif quand il est stressé ou quand on en vient à s’en prendre à lui ou à ce et ceux qu’il aime. Mais depuis qu’il a été étreint, il est devenu un peu plus froid, peut-être même plus distant avec ses anciens plaisirs de vivre, il regrette sa vie d’humain et est assez triste de son sort. Pour résumer, Leandro est rêveur, passionné, joyeux et impulsif mais depuis son étreinte, nous pouvons rajouter qu’il peut être assez froid et distant dû au regret et à la nostalgie de l’homme qu’il était.

Leandro Valme, né le 20 Mars 1997 en France dans les campagnes qui entourent Paris pour ensuite déménager à l’âge de 8 ans vers le centre de la capitale. Ses parents, chercheur pour son père et photographe pour sa mère, avaient décidé de ce changement pour les études de leur unique fils, voulant devenir comme son père. Mais finalement vers l’âge de 13 ans, par une rencontre hasardeuse nommée Louve, au collège, Leandro apprit le monde de l’art et en devins amoureux. Son domaine : la musique. Il décida donc d’apprendre à en jouer, au début tout allait bien, il en faisait par passion quand il en avait le temps. Et, plus le temps passait, plus il y consacrait du temps. L’augmentation était exponentielle, son amour pour la musique aussi. Et quand il allait devoir choisir son école pour devenir chercheur, il décida de tourner la page et de faire de sa passion, son métier. Ses parents eurent du mal à l’accepter, mais, ils s’y sont fait et maintenant sont très fier des progrès de leur fils. Il avait donc, après beaucoup d’au revoir à sa famille, suivi Louve à Seattle, là où ils avaient été accepté en école d’art.
4 Mars 2018, il était 21 heures, Leandro était en compagnie de Louve et ensemble, décident d’aller à une exposition d’art dont le thème est : La France. Cette dernière se fera de nuit dans un grand musée de Seattle. Une fois sur place, ils découvrirent beaucoup de personnes importantes et c’est naturellement que Louve présenta ses œuvres qui, on pouvait le dire, étaient appréciées. Le champagne s’était invité avec eux, peut-être un peu trop mais en même temps, le contexte le permettait. Et c’est vers 1 heure du matin, une fois que nos deux protagonistes avaient bien bu mais pas encore décuver, qu’ils se décidèrent à rentrer chez eux. Sur la route, très en joie et en riant à gorge déployée, des passants les dévisageaient, mais peu leur importait. Toujours en route, ils prirent la direction d’une ruelle moins conseillée, surtout dans ces heures, et cette route se transforma en chemin vers leur fin. Il avançait encore jusqu’à ce qu’une ombre envoie nos deux compères contre un mur, ce qui fit tomber Louve tandis que Leandro était resté appuyé contre le mur froid. L’ombre dévoila sa bouche, puis ses dents, et sa langue, mais ses dents étaient différentes, les canines assez pointues. La « chose » s’approcha de Leandro et lui mordit le cou. Ce dernier se rappelle que Louve l’avait appelé mais c’était trop tard pour lui, d’ailleurs, ce cri causa la perte de Louve aussi qui subit le même sort. Leandro n’était pas encore « endormi » et il vit la créature s’en prendre à Louve, il voulait bouger, mais le pouvait-il seulement ? C’est environ  6 minutes plus tard que Leandro se réveilla et quelques minutes ensuite, ce fut au tour de Louve. En se réveillant, il avait mal à a tête, et c’est un euphémisme. Loutre se rapprocha de Leandro, ce dernier sentait qu’elle était froide. Ils relevèrent ensemble et l’un contre l’autre, se dirigeaient vers leur appartement. Une fois rentrés, les deux s’allongèrent ensemble sur le canapé et se mirent à dormir. Leandro s’était endormi après Louve, insomnie peut-être ? Mais une fois endormi, il ne se réveilla pas. C’est Louve qui, dans les alentours de 3 heures, réveilla Leandro en tombant, ce dernier alla l’aider à se relever et la porta jusqu’au canapé. Il avait eu la chance de ne pas tomber, sa tête tournait, ce qui lui compliquait la tâche. D’ailleurs, il ne se sentait pas seul, quelque chose l’observait, l’oppressait, mais quoi ? Il l’ignorait. Il avait mal dormi, peut-être ça. Cela commençait à le prendre et il devenait fou à cause de cette chose. Tous deux se prirent à ravager l’appartement, meubles cassés et jetés, parfois l’un sur l’autre. Cela avait duré une bonne trentaine de minutes, puis, une fois calmé, il commençait à sentir la faim monter. Mais ce n’était pas de nourriture qu’il y avait dans le frigo saccagé qu’il voulait, non, mais du sang. Louve le mordit, ce qui pourtant ne le faisait pas réagir, il sentait par la fenêtre que son repas était plus bas. Mais il arrivait à se convaincre de ne pas descendre. Il reprit petit à petit le contrôle de lui-même, même si son estomac n’était toujours pas rassasié. Il prit sa guitare et se mit à jouer mais quelle horrible chose pour les oreilles. C’était à se demander comment Louve avait pu se rendormir. Le jour se leva, avec lui Louve. Cette dernière se dirigea vers la fenêtre, comme instinctivement et Leandro la vit reculer brusquement. Elle ferma rapidement les rideaux. Leandro comprit que le soleil était devenu dangereux, d’ailleurs il voyait aussi que son amie l’était, on aurait pu croire qu’elle allait lui sauter dessus à n’importe quel moment, mais fort heureusement, la fatigue la gagna et elle se remit à dormir. D’ailleurs, le garçon sentait lui aussi la fatigue, il fallait dire qu’il n’avait pas énormément dormi. Il s’allongea donc sur le canapé, laissant le lit à sa camarade. A son réveil, qui fut plus doux, il constata en premier que Louve dormait encore. Il avait faim, très faim, mais rien ne pouvait vraiment le rassasier. Rien ? Si, mais il ne le voulait pas. Il s’approcha du rideau encre fermé, par habitude certainement, et quand il l’ouvrit, il découvrit la lune dans le ciel. Il avait dormi si longtemps ? Il referma le rideau, au cas où le soleil serait de retour sans qu’il ait le temps de le refermer. Comment allait-il combler sa « journée » ? Il prit son manteau et se dirigea vers le bas de l’immeuble. L’air lui fit du bien, il le respirait en suffisante quantité puis il remonta. Une fois de retour dans l’appartement, Louve s’était réveillée et dès qu’elle eut remarqué son camarade, elle l’invita à sortir, ce qu’il accepta. Dehors, les deux étaient accrochés l’un à l’autre, pour quelle raison ? L’odeur certainement, sa partenaire sentait étrangement très bon, mais il cacha cette vérité en se disant que c’est parce qu’il avait faim. Ce qui lui faisait mal à la tête, le faisait toujours voire plus qu’avant. Mais, à force de douleurs, il s’y habitua. Il regardait Louve, collée à lui, ou bien, lui collé à elle, et sentait qu’elle était dans le même état que lui. Sur leur route se dressa devant eux, un couple certainement et sans planifier quoique ce soit, les deux se ruèrent en même temps sur leurs victimes une fois ces dernières suffisamment proches. Les mordants au cou, ne leur laissant aucune chance de vie. Louve se releva et avant de s’en rendre compte de ce qu’elle avait fait, on pouvait sentir qu’elle était soulagée. Leandro copia presque les émotions de son amie, heureux d’être rassasié. Mais ils se rendirent assez vite compte de ce qu’ils avaient fait et cela fit paniquer Leandro qui ne voulait pas ça. Qu’avait-il fait ? Pourquoi l’avait-il fait ? Il n’en savait rien, il savait juste qu’il l’avait fait. Louve prit le bras de Leandro et sans que celui-ci n’eut le temps de se demander pourquoi, les deux se mirent à courir vers leur appartement, si le terme était toujours correct vu l’état dans lequel il était. Une fois arrivé, Leandro ferma violemment la porte, qu’étaient-ils devenus ? Pourquoi étaient-ils comme ça ? C’était depuis qu’ils s’étaient fait attaquer, il le savait. Peu après, la porte se fit fracasser par un violent coup de pied. Les deux eurent un sursaut. Leandro remarqua ce qui venait de détruire sa porte d’entrée, un vampire ! Il était assez énervé et se leva pour rejoindre le vampire, non pour discuter, mais il fut retenu par Louve. Le vampire ne se présenta pas mais leur expliqua ce qui venait de leur arriver. Il obligea nos deux protagonistes à le suivre, ce que Leandro refusa, mais son instinct lui disait d’y aller. C’est donc en trainant les semelles que Leandro suivait l’inconnu aux longues canines, toujours avec sa camarade, en prêtant attention à cette dernière. Le vampire leur présenta un grand bâtiment nommé « La Tour du Vent ».