Des humains ? : Ah l’Humanité ! Cette espèce si  fragile..si naïve et paradoxale. Qu’est ce que je peux en dire ? Que je les considère comme un trésor de connaissances. En un sens, eux aussi sont immortels… au sens figuré bien sûr ! Disons juste qu’ils sont doués pour laisser des traces de leur passage dans l’histoire. Et c’est précisément cela qui me passionne chez eux.Leur savoir ? une arme redoutable, s’en emparer ferait de nous...peut être des..divinités ?  

Des goules ? : Ce que je pense des goules ? Hum! pas grand chose à vrai dire, Je les considère davantage humain que mort pour ma part. Je dirais même qu’il s’agit de l’évolution de l’humanité. Une sorte de nouvelle branche.  Pardonnez moi, je vais vous épargner mon côté darwiniste.*Rire qui laisse dévoiler  ses canines*  

De la Camarilla ? : Qu’est ce que je pense des miens ? La question me semble difficile, c’est comme si je vous demandez ce que vous pensez de vos proches ou de vos parents. Personnellement je ne sais pas du tout comment  répondre. Oui j’aime la Camarilla et je suis fière d’en faire partie. Je donnerai ma vie pour elle.Ces six traditions  me sont inaliénables, et je ne faillirai en aucun cas à mon devoir envers elles. mais ne me parlais pas de ses ordures de Brujah ou encore de ses timbrés de Malkavian. Il entachent la réputation de la Camarilla

Du Sabbat ? : Le Sabbat !? Vous avez le culot de me poser la question ? de ce que je pense de ses ordures ? Je penses que ces totalitaires représentent le plus gros dangers parlant sur les différentes espèces. Il nous faut  les éradiquer, leur montrer qu’il ne sont pas les bienvenus. Si Vis Pacem Para Bellum

Des Anarchs ? :Les Anarch’ et bien que dire d’eux à part qu’il peuvent nous êtres grandement utile le jour  ou nous partons délibérément en croisade contre les sabbats. Nos fonctions sont séparées..Alors que nous pourrions tellement accomplir de grandes choses en s'unissant.

Des Aubains ? :Je n sais pas ce que c’est..Avec seulement dix ans de vampirisme sur le dos ? c’est comme si je portais encore la culotte, vous vous doutez bien que ce genre de détails...Je ne sais rien.

Des Sangs-Clairs ? :De sangs- clairs ?  je ne connais rien là dessus aussi. Oui..c’est toujours regrettable de ne pas être au courant de tout lorsque nous sommes nouveau-né.

Il est clair que je n’ai rien de très unique  physiquement parlant. Un mètre soixante quinze. La taille est plutôt normal pour une femme telle que moi. Les yeux bleu, c’est ce qui à fait flanché mon premier petit copain d’ailleurs, a cela vous ajouté un roux naturel contrastant merveilleusement bien avec mon iris. Ma démarche ? le pas assuré, calme, qui témoigne de mon tempérament assez réfléchi. Mais cela vous allez bientôt le voir en détail.  Vous me demandez ce que je porte tout le temps autour du cou ?  Eh bien quand on perd un proche, il faut quelques chose pour le garder auprès de nous. Je suppose que ce médaillon me permet de ne pas l’oublier. Ah et derniers point cruciale, une cicatrice orne mon coté droit...Oh ce n’est rien d’autre qu’un vulgaire coup de dague enfoncée jusqu'à la garde*Rire un peu sec*.

Dérangement ou vice : N/A


Que dire  d’un vampire de deux ans ?  Calme réfléchie,  qui apporte une grande affection aux coutumes nobles de l’époque.  Parfois intellectuelle et surtout légèrement darwiniste sur le bord, je me permet de penser  que l’on a tous droit à une seconde chance. Ce n’est pas parce que nous pouvons ôter la vie de quelqu’un en une seule pression de la mâchoire que cela fait de nous des monstres. Cependant  je dois reconnaître que la naïveté,et mon impulsivité me fait défauts par moment. Je dois  probablement ça au fait que je sois une , comment les vampires confirmés nous appelle déjà ?  Nouveau -né ? Oui peut être que c’est justement parce que j’en suis une que j’ai du mal à me maîtriser par moment.

Fille unique à ma grande déception, je viens d’une famille légèrement intellectuelle. Née d’une mère institutrice et d’un père libraire, je me suis écartée un peu de la voie des lettres pour suivre ma propre destinée. Les chiffres semblant être une bonne perspective. Je vivais ma vie, heureuse, me sentais intouchable par la misère humaine. Mais... ce n’était qu’une illusion. Le destin en a voulu autrement. J’avais quatorze ans ce jour-là, quand le téléphone de la maison a sonné. Je n’oublierai jamais le regard de mon père devenu exsangue lorsqu’il a décroché. Mère venait de succomber à sa leucémie.
Ma vie entière s’écroula. Je n’avais que pour seul refuge mes études.

En cette soirée pluvieuses du 11 novembre 2007, à la sortie d’une représentation de Carmen, ma vie a changé. Cette Dame, ma créatrice m’a prit m’a vie  pour m’en donner une autre. voici ma véritable naissance !

Tu es avec eux ?
Elle semblait menaçante  en sortant de son ombre. Une vrai folle visiblement, et chose étrange, vêtue d’une capuche qui couvrait légèrement ses trait. Elle avançait vers moi d’un pas déterminé, me saisissant le bras.

Madame ? Je ne vois pas de quoi  vous voulez parler..je sors à peine de l’opéra

Le reflet d’un lampadaire faisait briller la lame qu’elle venait de sortir. Il s’agissait de cette même lame  que je sentais fouiller dans mes entrailles l’instant d'après,une douleur vive puis un perte d’équilibre me retrouvant à genoux devant mon agresseur avant de  m’affaler tête la première sur la palet. Cette femme me surplombait dès lors,  mon sang coulant déjà jusqu’au bout de ses escarpins vernis.  Je risquais un regard vers elle qui semblait être totalement meurtrie par ce qu’il vient d’arriver. Elle lâcha la dague qui tomba en un fracas assourdissant. Cette même femme qui venait tout bonnement  de m'éventrer se retrouva rapidement  à coté de moi, assise, posant ma tête sur ses propres cuisses… Je ne pouvais que geindre et la supplier d’arrêter...elle en avait déjà trop fait.
Pitié...Laissez moi partir...je n’ai rien fait de mal

Partir ? et ou compte tu aller comme ça ?
Je serais même prête à parier qu’elle s'amusait avec une de mes mèches rousse, me caressant également les ailes du nez. Un geste purement maternelle pour une meurtrière.
Je suis là … ça va aller

Puis je compris, je vis ses crocs et sentit une légère douleur dans le coup, puis plus rien...les limbes.

Constance Wellington, ma meurtrière, ma créatrice et Ma Dame de surcroît, voilà sous quel nom elle répondait. Il me fallut deux longues années pour accepter la vérité. Je maudissais Constance , pleurait chaque nuit et...curieusement cela la rendait triste. Les vampires avaient donc des émotions.  Pendant  dix  ans elle  veillé à ce que je ne manque de rien. M’a appris son art. La rhétorique, les acrobaties et quelques rudiments de combats. Il est même de nature paradoxale  de m’offrir la même dague avec laquelle elle m'a ôté la vie  “ Sanguinem in Aeternum”  c’est trois mots ornant la lame, la maxime de Constance qui est également devenu mienne.

Dix ans d'apprentissage...Dix années à forger un lien aussi fort..j’avais perdu une mère  pour en trouver une autre. j’avais réussi à retrouver une certaine gaieté de coeur. J’avais  pu réapprendre à sourire...grâce à elle.  

Pendant dix ans je t’ai formé à ça ...je t’ai préparer ! C’est à présent l’heure de l'achèvement de tout ceci… Trouve la Camarilla...entre au service de son monarque ...prépare mon arrivée ...Tu devrais peut-être commencé par Seattle...Simple conseil..Pour ma part j’ai des affaire à régler...on se retrouve là-bas !

Constance”

Un beau matin..rien. Partit, elle avait juste pris quelques affaires et avait laissé ce mot. En aucun cas je comptais la décevoir. Un lien de sang nous unis...et c’est ce qui fera ma force.