Des humains ? : Ils sont le trésor que nous devons protéger, sans pour autant pouvoir survivre sans eux. Alors tâche d'être aussi doux que possible avec eux, et de rester cacher.

Des goules ? :Une goule peut-être ta meilleure alliée comme ta pire faiblesse, réfléchit bien avant de changer la vie d'un humain a jamais, ne le fait pas par caprice

De la Camarilla ? : La Camarilla est la seule façon de survivre qui nous permette de garder ce qui nous reste de notre âme. Alors elle nous protège, mais à nous de la protéger en retour et de veiller à ce que chacun y joue son rôle comme il se doit.

Du Sabbat ? : la légende raconte que certains d'entre eux seraient plus humaniste que nous. Mais ne te détrompe pas, quand onles croise, c'est eux ou nous.

Des Anarchs ? : Faut faire le tri, c'est du cas par cas, mais pour les plus dignes d'entre eux c'est une réelle position d'idéal, ceux là sauront faire en sorte que tout se passe bien.

Des Aubains ? :Souvent ils ne cherchent qu'a faire leur beurre entre les diverses factions, sur une même cité. Mais on ne peut pas toujours se passer de leur aide et de leurs informations.

Des Sangs-Clairs ? :  des quoi ???

Elle apparait comme une jeune fille de 25/30 ans peut-être, au teint rosé, et fraiche. Si on l'observe bien elle respire, et certains l'aurait entendu éternuer (Bonne mine) . Mais son regard semble d'emblée montrer un passif d'expérience qui va un brin au delà de ça. Elancée, elle affiche un certains peps quand elle se déplace, habillée en général d'un pantalon en cuir avec des bottes a talons, et un corset, quand ce sont des soirées mondaines. Elle affiche un regard et un ton de voix doux, posé, et sourit facilement. Elle semble avoir sur le haut de ses épaules certaines marques, de veilles cicatrices peut-être, et si on y porte un peu plus d'attention on y voit un mélange de lacérations et de brûlures peut-être ( scarifié), elles sembles se dessiner sur sa peau rien de choquant mais comme si elle voulait en garder le souvenir. Autour du cou, elle porte toujours un foulard( Blessure ouverte), et sur le poignet droit un tatouage, comme une chaine avec un pendentif militaire et une immatriculation.

Dérangement ou vice :

Elle est avenante, tant que tout semble bien se passer, elle est douce si le moment le permet, curieuse de découvrir encore ce monde qu'elle arpente depuis près de 40 ans et dont elle est persuadée qu'elle ne connait rien. Elle sait se faire apprécier, et sait trouver ce qui pourrait sembler a un accord entre diverses parties. Mais elle sera intègre sur les règles, et les piliers de la Camarilla. Elle sait enseigner, et sait se montrer patiente. Mais si les choses viennent a devenir dangereuse, pour ceux qu'elle apprécie et chérie, elle deviendra une vraie louve, et si ce danger se tourne contre la Camarilla, alors c'est en défense qu'elle attendra le meilleur moment pour frapper.

Comme si cela présageait de mon avenir c'est par une nuit d'orages et de pluies diluviennes que j'ai vu le jour, lors de ma première naissance en 1954, mes parents étaient un couple banal et simple, mon père avait le culture du travail bien fait et ma mère de la femme qui tenait son foyer. Je n'ai manqué de rien, même si les fins de mois n'étaient pas toujours évidents. Ce sont des souvenirs doux.. Et puis il y avait mon frère, j'étais une princesse a ses yeux. Il avait 14 ans de plus que moi et il était mon monde, c'est par lui que j'ai apprit a grandir et a aimer la moto...

Puis est arrivé le Vietnam, qu'ils étaient fiers de voir mon frère être appelé, mais je sentais bien que lui ne voulait pas partir, il ne disait rien mais ses longs silences avant son départ, son regard, il avait changé. Ce matin là quand la jeep est venu le chercher, il m'a embrassé sur le front et m'a demandé de ne pas m'inquiéter, il serait bientôt de retour... Cela a duré, mes parents aussi ont changés, tout le monde avait changé... Ceux qui rentraient était vides, et mis au banc, vu comme des meurtriers au fur et a mesure que la réalité d'une guerre lointaine nous revenait. Et moi j'attendais... Mon père avait finit par se résigné à l'alcohl, peut-être par honte d'avoir été aussi fier au départ de son fils, et ma mère échappait de moins en moins a ses coups.
Il est rentré... un après midi en rentrant du lycée j'ai entendu le moteur de la moto silencieux si longtemps. J'étais folle de joie, et je lui sautais dans les bras... Mon frère était rentré sain et sauf. Quelle méprise, il était bien là, entier mais son âme était ailleurs.
Les jours qui suivirent son retour de furent que cris, disputes violentes et je n'ai pas compté le nombre de fois où j'ai dû m'interposer entre lui et mon père.
Et un matin plus de moto... Il était parti sans rien dire.

J'ai arrêté le lycée pour le chercher, essayer de le trouver quitte a m'enfuir avec lui mais ça ne donnait rien.
Papa buvait de plus en plus... une nuit c'est dans ma chambre qu'il est entré, qu'il a lâché sa colère, alors je me suis enfuie.

... La Nouvelle Orléans peut semblé être accueillante, mais les nuits c'est une autre histoire, le monde devient comme sombre et froid pour quelqu'un qui n'a pas nos capacité a survivre. J'ai trouvé refuge dans une maison de passe, et j'y ai laissé une partie de mon âme a moi. Mais j'avais un toit et les moyens d'avoir des ressources pour rechercher mon frère.

Une nuit, on me fit miroiter sa présence sur les quais... Je sortis... Je l'ai vu là devant moi dans ce hangars... C'était lui, il était là, ses yeux étaient si sombre. Puis son visage a changé, comme si il fondait et prenait une autre forme, il m'a attrapé, jeté au sol... La force était telle, que tout mon corps me faisait mal, une lame trancha ma gorge( blessure ouverte) et la dernière vision que j'en ai est une marre de sang...et une silhouette qui arriva en criant de me lâcher, un homme, il bougeait si vite, je perdis connaissance en voyant des flammes au loin( scarifié).

A mon réveil une adresse, des conseils sur un bout de papier... Mes entrailles me brûlaient et une faim violente me prit...Quelque chose avait changé. Une voiture noire attendait dehors. Une femme en sortie, et me posa a l'arrière, elle resta silencieuse tout le long de la route, me regardant par moment dans son rétro, je n'arrivait pas a parlé essayant de calmer cette douleur et cette fureur. Elle me fit entré dans un manoir, et me présenta a un homme. Gaël. Il fut mon mentor, mon enseignant, il prit la place de celui qui avait fait de moi ce que j'étais. Il m'apprit a apprécier ma seconde naissance, et me garda longtemps cachée de la Cour d'Orléans, je ne sais pourquoi. J'avais le droit de sortir, de me mêler aux humains, mais devait restée discrète encore, devait étudiée, apprendre, encore et encore. Devenir une dame, disait-il.

Puis une nuit, il n'est aps rentré alors j'ai voyagé, j'ai visiter, je me suis battue pour nos principes, pour la Camarilla et cette nuit ma moto m'a menée jusqu'a Seattle...

Alors biensûr je n'ai pas survécu toute seule, j'ai entre 6 et 8 mecs en moto qui me suivent et bossent avec moi. Bon ce qu'ils font en dehors du job que je leur demande ne regarde que eux, mais ils sont cool si on leur cherche pas de noises, et en prime moi ça me permets de changer de bécane quand je me déplace seule.